Milieux d’intérêt écologique
La perte et l’altération d’habitats représentent les plus grandes menaces pour la biodiversité. Les milieux humides sont des habitats particulièrement sensibles. Ces derniers sont très importants, tant pour la faune que pour la flore, puisqu’ils permettent à de nombreuses espèces d’accomplir en tout ou en partie leur cycle de vie et qu’ils contribuent à la purification de l’eau et à la régularisation des niveaux d’eau. La biodiversité marine du Saint-Laurent mérite également une attention particulière, car les pressions exercées sur les écosystèmes marins sont de plus en plus fortes.
Projets 2021-2026
Consolider le portrait des autres mesures de conservation et améliorer les structures d’acquisition d’information
La période 2021-2026 est marquée par un investissement sans précédent des ressources en conservation par les gouvernements. À l’échelle du Québec, d’importants changements, en matière de législation ciblant directement la protection de la biodiversité. Ce projet PASL prévoit donc de s’adapter à ces nouvelles réalités. Au Québec, la Loi sur la conservation des milieux humides et hydriques oblige toutes les municipalités régionales de comté à inventorier les milieux humides et hydriques d’intérêt pour juin 2022 par la préparation de plans régionaux.
Au moment actuel, le Registre des aires protégées au Québec comporte trente désignations d’aires protégées. En complément de ce registre, ce projet vise à compiler l’information sur les autres mesures de conservation de milieux naturels protégés par des propriétaires privés.
Le projet vise à compléter la mise à jour du Registre des aires protégées au Québec relativement aux aires protégées de tenure privée ainsi que d’établir de nouvelles désignations d’aires protégées et de mesures de conservation de territoires autres que des aires protégées.
Mettre en œuvre le plan intégré de conservation des milieux naturels du Saint-Laurent
Les organismes de conservation de la biodiversité et des milieux naturels peuvent maintenant compter sur des alliés d’envergure : l’Atlas des territoires d’intérêt pour la conservation dans les basses-terres du Saint-Laurent et l’Atlas des milieux côtiers d’intérêt pour la conservation dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Ces outils feront l’objet d’une mise à jour au moyen de données numériques actualisées qui permettront d’utiliser les données récemment acquises pour actualiser les sites d’intérêt d’actualiser les informations de façon périodique et d’arrimer les résultats de l’atlas estuaire/golfe avec les travaux d’identification des aires marines protégées et autres milieux marins d’intérêt.
Dans un contexte de changements climatiques, protéger les habitats et rétablir leur connectivité dans le sud du Québec implique la mise en œuvre de stratégies de conservation afin de favoriser le mouvement des espèces vers des niches d’habitat propices.
Ce projet du PASL vise à engager la communauté, les intervenants régionaux et les gouvernements à la réalisation d’actions de conservation de la biodiversité et d’aménagement du territoire au Québec, en utilisant les atlas mis à leur disposition.
Programme conjoint de surveillance écologique et du suivi de la biodiversité dans les aires protégées
Les aires protégées sont considérées comme les réserves naturelles de la biodiversité. Il convient toutefois d’en améliorer les suivis afin de s’assurer qu’elles maintiennent leur état d’intégrité naturelle et la biodiversité à long terme. Pouvoir déceler les changements est essentiel en raison des pressions qui peuvent affecter les aires protégées, telles que les changements climatiques, les espèces exotiques envahissantes et l’utilisation générale du territoire. Le programme conjoint de suivi de la biodiversité du PASL permettra de renforcer les partenariats et d’inclure des milieux côtiers le long du Saint-Laurent.
Jusqu’à maintenant, seules quelques aires protégées ont fait l’objet d’un échantillonnage complet. Dans le cadre du PASL 2021-2026, implanter le programme conjoint de surveillance écologique et de suivi de la biodiversité dans les différents types d’aires protégées demeure prioritaire. Pour réaliser ce projet, des indicateurs préalablement précisés seront échantillonnés annuellement dans trois à quatre aires protégées. Ainsi, les 17 aires protégées retenues le long du Saint-Laurent seront analysées au moins une fois durant la période 2021-2026. Le programme conjoint de surveillance pourrait aussi être élargi à d’autres aires protégées par l’intégration de différents partenaires. Le projet permettra finalement de produire un premier bilan de l’état écologique et de la biodiversité dans les milieux naturels retenus pour le programme conjoint de surveillance.
Rétablir la connectivité fonctionnelle des zones prioritaires dans les basses-terres du Saint-Laurent
Le Plan d’action Saint-Laurent (PASL) a permis d’amorcer l’identification des milieux naturels prioritaires pour la conservation du Québec méridional. Rétablir la connectivité des habitats très fragmentés dans le sud du Québec permettra de favoriser le mouvement des espèces vers des niches d’habitat propices.
Dans la première phase de ce projet (2016-2021), des corridors écologiques ont été proposés à l’échelle des basses-terres du Saint-Laurent (BTSL) pour maintenir et favoriser le déplacement des espèces terrestres. La poursuite de ce projet vise maintenant l’analyse de la connectivité écologique par la répartition et la composition des habitats aquatiques propices dans les cours d’eau des BTSL.
Ces analyses permettront d’évaluer la connectivité écologique fonctionnelle et structurelle de ces milieux au sein de bassins versants et, ultimement, au système fluvial du Saint-Laurent. Des actions de conservation et de restauration d’habitat seront proposées afin de maintenir et d’optimiser cette connectivité aquatique tout en accordant un souci particulier au risque de dispersion d’espèces aquatiques envahissantes. Ce projet permettra également d’améliorer la cartographie des milieux humides et hydriques à restaurer.
Restaurer le littoral du lac Saint-Pierre
Le lac Saint-Pierre (LSP) comprend la plus grande plaine inondable du Québec. Pendant la crue printanière, plus de la moitié des espèces de poissons du lac se retrouvent dans la plaine inondable du LSP pour la reproduction ou l’alimentation. Une portion importante de ce littoral est également utilisée à des fins agricoles dont les superficies sont de plus en plus converties en grandes cultures. Les pratiques agricoles actuelles laissent peu de support végétal au printemps pouvant servir d’habitat à la faune aquatique et terrestre. Ces pratiques augmentent, de surcroît, l’érosion des sols et contribuent au déclin des populations d’oiseaux champêtres associés aux pâturages et aux cultures fourragères.
Depuis 2012, plusieurs bandes riveraines et parcelles agricoles ont été restaurées sur la rive nord et la rive sud du lac. De plus, plusieurs sites ont fait l’objet d’inventaires fauniques pour analyser la réponse des poissons, amphibiens et oiseaux nicheurs à la suite de ces aménagements.
Ce projet vise à poursuivre la restauration d’habitats dans des secteurs à haut potentiel pour la faune dans la zone littorale du lac Saint-Pierre et à mettre en place un programme de suivi écologique pour évaluer les effets à long terme des efforts de restauration sur l’écosystème du lac Saint-Pierre. Des espèces indicatrices et des protocoles de suivi permettront ainsi de percevoir les effets des actions entreprises auprès de la biodiversité du lac et de sa plaine inondable. Le projet permettra également de poursuivre les suivis fauniques sur les sites restaurés et d’en améliorer les protocoles.
Un article sur les changements de l’occupation du sol de la plaine inondable du lac Saint-Pierre de 1950 à 2016 et les perspectives pour la restauration des milieux naturels émerge de ce projet.
Projet 2016-2021
Consolider le portrait des autres mesures de conservation et améliorer les structures d’acquisition d’information
Jusqu’à tout récemment, le portrait des aires protégées de tenure privée inscrites au Registre des aires protégées du Québec était incomplet, autant en nombre qu’en ce qui concerne leur forme et leur emplacement précis. Pour la période 2011-2016 PASL, nos experts ont élaboré une banque de données géoréférencées afin de recueillir, traiter et valider toute l’information déjà compilée dans le Répertoire des milieux naturels protégés du Réseau de milieux naturels protégés (RMN).
Ce projet vise à soutenir l’évolution du répertoire et à rendre la plateforme plus conviviale afin d’inciter les acteurs du milieu à l’utiliser et également à poursuivre la mise à jour du Registre des aires protégées au Québecrelativement aux aires protégées de tenure privée. Le Répertoire des milieux naturels protégés est devenu le Répertoire des sites de conservation volontaire du Québec Le Répertoire : repertoiredesmilieuxnaturels.qc.ca.
Avec ce nouveau répertoire et la plateforme, les utilisateurs obtiennent une image fiable et en temps réel des efforts de conservation déployés sur les terres de tenure privée. Ces outils permettent de faire des analyses géomatiques et de prendre des décisions plus éclairées. Les retombées de ce projet PASL ont contribué à l’élaboration d’atlas de territoires d’intérêt pour la conservation, mais orientent aussi les municipalités dans leur prise de décision en matière d’aménagement du territoire.
Protéger les habitats des poissons du Saint-Laurent et leur connectivité
Au cours de leur cycle de vie, les poissons utilisent des habitats variés qui répondent à leurs besoins. Pour veiller à leur survie, il est essentiel de s’assurer que les habitats qu’ils fréquentent, de la naissance jusqu’à l’âge adulte, sont suffisamment abondants, en santé et aussi interconnectés.
Ce projet du PASL vise à recenser les habitats importants pour les poissons dans le fleuve et ses affluents et à en préserver la connectivité. Il s’intéresse à des habitats très variés, tels que des portions de la plaine d’inondation, l’embouchure de cours d’eau tributaires, des chenaux navigables ou non, des fosses profondes, des zones portuaires et des marais peu profonds. Il s’intéresse aussi aux couloirs de migration et au libre passage, autant pour satisfaire les besoins d’espèces migratrices, comme l’alose savoureuse, le bar rayé, l’esturgeon jaune ou l’anguille d’Amérique, que pour évaluer le risque d’invasion par certaines espèces exotiques telles que les carpes asiatiques.
Les renseignements de ce projet sont compilés au fur et à mesure dans un atlas numérique et a mené à la production d’une caractérisation des communautés de poissons et de leurs habitats (2007-2018; Mingelbier et collab., 2019) dans les zones portuaires et le chenal de navigation du Saint-Laurent qui n’avaient jamais été explorées avant. Ce projet a aussi souligné l’importance de la connectivité dans les plaines inondables du lac Saint-Pierre et a permis de mesurer les pertes d’habitat de fraie du grand brochet reliées aux pratiques agricoles et à la régularisation des débits du Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais (Foubert et collab., 2020).
Outiller les communautés pour la conservation des milieux naturels du Saint-Laurent
Lors de la dernière phase du PASL (2011-2016), nos spécialistes ont déterminé quels milieux naturels (par ex., forêts, milieux humides, friches, milieux aquatiques, marais côtiers) devaient être conservés en priorité dans les secteurs des basses-terres du Saint-Laurent et des zones côtières de l’estuaire et du golfe. En effet, la biodiversité de ces milieux est menacée entre autres par l’urbanisation, l’agriculture ou l’érosion des berges.
Dans le but de coordonner les efforts de conservation et d’outiller les communautés locales, ce projet consiste à mettre à la disposition des intervenants des outils d’aide à la décision, comme des cartes, des rapports et des résultats d’analyse. Ces démarches serviront d’assise pour déterminer les actions de conservation les plus pertinentes et efficaces à réaliser dans les années à venir.
Un atlas des territoires d’intérêt pour la conservation dans les basses-terres du Saint-Laurent a été publié en lien avec ce projet.
Évaluer la santé et la biodiversité des aires protégées du Saint-Laurent et des territoires adjacents
Lors d’une phase précédente du PASL, une vingtaine d’indicateurs écologiques ont été retenus pour évaluer la santé des réserves nationales de faune situées le long du Saint-Laurent et de ses berges. Parmi ces indicateurs, citons la superficie des habitats et l’abondance de certaines espèces d’oiseaux, de chauves-souris et de batraciens. Parallèlement, l’élaboration d’un programme de suivi de la biodiversité à l’échelle du Québec a été amorcée.
L’objectif de ce projet est de mettre en œuvre un programme de surveillance écologique et de suivi de la biodiversité dans les aires protégées publiques ou privées situées le long du Saint-Laurent et dans des territoires adjacents. Les spécialistes déterminent les méthodes ainsi que les lieux à échantillonner et utilisent des indicateurs clés afin de suivre la santé des écosystèmes fluviaux et des milieux riverains du fleuve (milieux humides et forestiers).
À la fin de ce projet, les citoyens auront à leur disposition un rapport sur la méthodologie commune pour effectuer le suivi des aires protégées le long du Saint-Laurent.
Relier les zones prioritaires pour la conservation afin d’assurer la survie des espèces des basses-terres du Saint-Laurent
Le projet sur l’Atlas des territoires d’intérêt pour la conservation dans les basses-terres du Saint-Laurent a permis faire ressortir les milieux naturels à conserver en priorité dans les basses-terres du Saint-Laurent. Ces milieux peuvent cependant être isolés les uns des autres par des routes, des habitations ou des champs. Or, les espèces animales et végétales doivent pouvoir circuler ou s’étendre librement entre ces milieux, sans quoi il leur est difficile de survivre et de se reproduire.
Les experts concernés par ce volet d’étude poursuivent les objectifs suivants : cartographier les corridors écologiques qui permettent de relier ces zones de conservation entre elles, tout en respectant l’activité humaine. Des sites prioritaires à conserver pour le déplacement d’espèces animales terrestres ont été déterminés pour l’ensemble des BTSL et des scénarios de changements d’occupation du sol et de changements climatiques ont été considérés pour analyser les changements qui pourraient survenir sur ces priorités de conservation pour la connectivité proposées. Les rapports de ces études sont disponibles à l’adresse suivante : www.environnement.gouv.qc.ca/biodiversite/cadre-ecologique/index.htm.
Restaurer le littoral du lac Saint-Pierre
Le lac Saint-Pierre héberge plus de 280 espèces d’oiseaux et 78 espèces de poissons. De nombreuses espèces, comme la perchaude ou la barbotte, utilisent les eaux calmes de sa plaine inondable pour se nourrir et se reproduire. Le lac est utilisé pour l’agriculture après le retrait des eaux, et les pratiques actuelles favorisent l’érosion des sols lors des crues printanières, en plus de limiter l’accès de la faune à un habitat de qualité. Les communautés locales désirent concilier les besoins des agriculteurs avec la conservation de la biodiversité. Au cours de la première phase de ce projet (2011-2016), des travaux de restauration ont été réalisés avec les agriculteurs qui avaient été encouragés à modifier leurs pratiques afin de maintenir des bandes de protection de part et d’autre du cours d’eau avec un couvert végétal favorable au maintien des poissons et de la faune terrestre.
Au cours de sa deuxième phase (2016-2021), nos experts visent à produire un guide présentant les meilleures pratiques de conservation et un atlas des sites propices à la restauration, et ce, afin de faciliter l’implication des communautés locales. Ainsi, une cartographie des sites de restauration prioritaire a été élaborée en collaboration avec la Table de concertation régionale du Lac Saint-Pierre. Nos experts participent également à la restauration de certains sites et effectuent un suivi pour en mesurer les bénéfices pour la faune locale.
Projets 2011-2016
Élaborer et partager une cartographie unifiée des habitats
L’activité humaine exerce une pression constante sur les habitats et sur les espèces qui y vivent. La production d’une cartographie détaillée de l’occupation du sol et des milieux naturels, dont les boisés et les milieux humides, permettra de situer les secteurs où les pressions sont les plus importantes, de manière à orienter les actions de conservation des habitats.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Réaliser un portrait des aires protégées et des autres mesures de conservation complémentaires
Plusieurs moyens administratifs ou légaux tels que les acquisitions, les servitudes de conservation ainsi que la création de réserves naturelles et d’aires protégées contribuent à la conservation de la biodiversité. L'élaboration d’une base de données regroupant toutes les aires de tenure publique ou privée, associée à un système d’information géographique, permettra de faire état des lacunes et des occasions à saisir en matière de conservation, de façon à favoriser une meilleure planification des interventions de conservation.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Identifier les habitats d’importance pour les poissons et protéger ou rétablir leur connectivité
Les étapes du cycle de vie de nombreuses espèces de poissons se déroulent dans des habitats variés. Ces séquences d’habitats ainsi que leur connectivité doivent être conservées pour permettre la survie de ces espèces. L’élaboration d’un atlas répertoriant ces habitats d’importance, à l’échelle du Saint-Laurent, permettra de créer des modèles d’habitats et d’élaborer des outils géomatiques afin d’améliorer le choix des secteurs présentant le meilleur potentiel de conservation.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Élaborer un plan intégré des « zones prioritaires de conservation »
Une analyse du territoire, combinant les informations issues de la cartographie unifiée des habitats, de la détermination des habitats d’importance pour les poissons, du portrait des aires protégées et des autres mesures de conservation, permettra la détermination de secteurs prioritaires pour augmenter la superficie des habitats protégés, favoriser leur connectivité et créer des zones de transition visant à réduire les pressions exercées par l’humain sur ces habitats. De plus, l’élaboration de scénarios de conservation permettra d’augmenter l’efficacité des interventions mises en œuvre pour le maintien de la biodiversité.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Mettre en place un programme de suivi de la biodiversité dans les aires protégées et les zones limitrophes
Un mécanisme de suivi est indispensable pour connaître l’efficacité des actions de conservation. La mise en œuvre d’un programme de suivi de la biodiversité dans les aires protégées et à leur périphérie permettra de vérifier dans quelle mesure la protection de ces territoires favorise le maintien de la biodiversité à long terme et de déterminer les améliorations nécessaires, le cas échéant.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Mettre en œuvre 3 projets d’aires marines protégées (AMP)
Les pressions exercées sur les écosystèmes marins sont de plus en plus fortes. À ce jour, les actions du Plan d’action Saint-Laurent ont mené à la création du parc marin du Saguenay-Saint-Laurent, la première aire marine protégée au Québec. La création de nouvelles aires marines protégées, en concertation avec les intervenants du milieu, permettra de renforcer la protection de la biodiversité marine du Saint-Laurent.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Participer à la mise en place d'interventions-modèles de conservation de la biodiversité en milieu agricole
De nombreuses bonnes pratiques de gestion et d’aménagement associées aux pratiques agricoles sont reconnues pour favoriser le maintien et l’accroissement de la biodiversité. La mise en œuvre, de concert avec des producteurs agricoles, de telles pratiques appliquées à l’échelle du paysage, permettra de sensibiliser les agriculteurs à leur impact positif sur la biodiversité ainsi qu’aux bénéfices qu’ils peuvent en retirer.
Consultez la fiche d'information pour ce projet.
Mettre en ligne une version interactive de l’Atlas de restauration des rives du Saint-Laurent
Ce projet vise à améliorer l’Atlas de restauration des rives du Saint-Laurent, initialement publié en 2007, afin qu’il réponde mieux aux besoins des usagers. Grâce à la collaboration de l’Observatoire global du Saint-Laurent (OGSL), une application Web interactive a été développée pour rendre l’Atlas plus convivial. L’équipe du projet a profité de cette mise à jour pour actualiser certaines données et pour créer un outil conforme aux normes d’accessibilité. Rappelons que l’Atlas dresse un tableau des habitats fauniques qui présentent un potentiel de restauration le long du Saint-Laurent. Son but est de favoriser l’engagement des différents acteurs de la conservation et de la restauration des milieux d’intérêt écologique du Saint-Laurent.
Consultez la fiche d'information de ce projet.
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